une vie inachevée et Robert Redford
20 Mars 2006 , Rédigé par Ipsus Publié dans #Comme au CINEMA
Robert Redford et Mia Farrow
dans Gatsby le Magnifique, le film de Jack Clayton (1974)
"Quand j'étais plus jeune , c'est à dire plus vulnérable, mon père me donna un conseil que je ne cesse de retourner dans mon esprit." C'est la première phrase de Gatsby le Magnifique
Nous sommes au lendemain de la Grande Guerre, le mal du siècle envahit les âmes, c'est l'époque de la Prohibition et des fortunes rapides.
En 1922, Jay Gatz, désormais Gatsby, se retrouve fabuleusement riche. Personnage mystérieux installé à Long Island dans une somptueuse propriété, milles légendes courent sur son compte. Elles n'empêchent pas les gens chic, et moins chic, de venir en troupes boire ses cocktails et danser sur ses pelouses.
Gatsby le Magnifique joue la carte de l'éblouissement et des folles dépenses comme un appât pour ramener à lui Daisy, mariée à Tom Buchanam, un millionnaire qui, à la différence de Gatsby, n'a pas gagné sa fortune, mais en a hérité.
Gatsby parviendra-t-il à reconquérir sa bien aimée ?
Nick Carraway, le cousin de Daisy, qui est un observateur lucide, nous raconte cette histoire...
Si vous voulez en savoir plus sur Scott Fitzgerald
cliquez ce lien : http://www.alalettre.com/international/fitzgerald-gatsby.htm
Du jour au lendemain, un tranquille employé de la CIA devient l’homme à abattre. Film d’espionnage à la sauce seventies, magnifiquement filmé, avec le beau Bob (Redford). Un régal.
(Three days of the condor)
Film de Sydney Pollack
(États-Unis, 1975, 1h56mn, VOSTF)
Scénario : Lorenzo Semple Jr., David Rayfiel, d’après un roman de James Grady
Avec : Robert Redford (Joseph Turner), Faye Dunaway (Kathy Hale), Cliff Robertson (Higgins), Max von Sydow (Joubert), Michael Kane (Wicks), John Houseman (Wabash), Addison Powell (Leonard Atwood), Walter McGinn (Sam Barber), Carlin Glynn (Mae Barber), Tina Chen (Janice Chon), Don McHenry (Dr. Ferdinand Lappe), Jess Osuna (Major)
Image : Owen Roizman
Montage : Don Guidice
Son : Dennis Maitland
Musique : Dave Grusin
Production : Dino de Laurentiis Corporation, Paramount Pictures, Wildwood Enterprises
ARTE FRANCE
Joseph Turner – nom de code Condor – travaille comme simple lecteur pour la CIA. Il lit tout ce qui est publié sur la planète à la recherche de fuites ou d’idées nouvelles. En recoupant différentes sources, Turner est arrivé à la conclusion que la CIA est infiltrée. Son chef n’y croit pas mais envoie tout de même un rapport à l’échelon supérieur. La réponse tombe : négatif. Le même jour, Turner sort chercher des sandwiches pour le déjeuner et, quand il revient, ses collègues sont tous morts. Tués à leur bureau. Un vrai carnage et un travail de pro. Déboussolé, Turner s’enfuit et appelle ses supérieurs pour se faire “rapatrier”. Mais à qui faire confiance ? Il accepte un rendez-vous à condition que son copain Sam Barber, qui est de la maison, soit là. C’est un piège. Pris pour cible, Turner riposte et tue son agresseur. Ne sachant pas où se réfugier, il enlève une passante qu’il oblige à le cacher chez elle…
Rat d’espionnage
Accrochez-vous à votre siège : dès les premières images, l’ennemi est partout, invisible, aux aguets. La traque a déjà commencé ! Juste après l’excellent thriller Yakusa avec Robert Mitchum, Sydney Pollack fait monter la tension d’un cran avec ce film d’espionnage à la sauce seventies. Musique funky de série policière, sexe décomplexé, plus tous les ingrédients du genre : suspense haletant, agents troubles, retournements de situation et séduction à la dure. En jouant sur le thème du complot en haut lieu, le film touche une corde sensible chez les Américains au milieu des années 70, quelque peu méfiants à l’égard des autorités depuis le Watergate. Dans le rôle du (beau) grain de sable qui grippe la machine, Robert Redford est l’homme à abattre. Certes, il n’est pas forcément crédible en rat de bibliothèque qui se transforme un peu vite en grand maître de l’espionnage. Mais on se gardera bien de le lui reprocher, histoire de ne pas se gâcher le plaisir de le voir manœuvrer et démasquer les méchants. Des méchants qui, comme dans tout bon film d’espionnage, sont parfois difficiles à distinguer des gentils… Les trois jours du Condor fut nominé en 1975 pour l’Oscar du meilleur montage mais fut devancé par Les dents de la mer. Sydney Pollack se rattrapa dix ans plus tard avec Out of Africa, toujours avec Robert Redford, qui en rafla sept.
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