RWANDA ( 1994 - 2021 ) : que s'est il vraiment passé en 1994 ? Which Responsibilities’ over Rwanda Genocide ?
La France n'est pas complice , mais a eu le tort de soutenir un gouvernement et d'essayer de sauver des vies , même maladroitement, pendant que les autres pays n'agissaient pas
Avec Macron,les Historiens ne manquent pas de travail :
après l'Algerie, vient de sortir 1 Rapport de plus de 1.000 pages, fruit de 2 années d'analyse des archives françaises, dressant un bilan sans concession , sur les événements au RWANDA en 1994
La France a un rôle, une histoire, une responsabilité politique au Rwanda. Elle a un devoir : celui de regarder l’Histoire en face et de reconnaître la part de souffrance qu’elle a infligée au peuple rwandais en faisant trop longtemps prévaloir le silence sur l’examen de vérité. pic.twitter.com/78YU5P6o9X
— Emmanuel Macron (@EmmanuelMacron) May 27, 2021
Stéphane Audoin-Rouzeau : "Sur le Rwanda, un discours de vérité vaut mieux que des excuses"
Le président de la République a reconnu jeudi les " responsabilités " de la France dans le génocide des Tutsis au Rwanda en 1994 et dit espérer que les Rwandais puissent un jour pardonner aux ...
https://www.lopinion.fr/edition/international/rwanda-discours-verite-vaut-mieux-que-excuses-245481
La politique de la France au Rwanda entre 1990 et 1994, menée par un président ( MITTERAND ) et son entourage «aveuglés idéologiquement», a été une «faillite» et elle porte des responsabilités «accablantes» dans le génocide des Tutsi,
selon un rapport cinglant d'historiens remis ( 26.3.2021 ) à Emmanuel Macron.
Rapport de la Commission #Duclert #Rwanda Triste lecture. https://t.co/KCcOlLhoiR
— Eric BEAUME (@beaumer) March 28, 2021
..... REACTION OFFICIELLE AU RWANDA ( 26.3.2021 ) : Le Gouvernement du Rwanda salue le rapport de la Commission Duclert, qui représente un pas important vers une compréhension commune du rôle de la France dans le génocide contre les Tutsi. Un rapport d'enquête commissionné par le Gouvernement du Rwanda en 2017, dont les conclusions viendront compléter et enrichir celles de la Commission Duclert, sera publié dans les semaines à venir_Réaction sur le rapport de la Commission Duclert. Lien: https://t.co/tY5JuLdXeM
— Ministry of Foreign Affairs & Int'l Cooperation (@RwandaMFA) March 26, 2021
Statement on the release of the Duclert Commission Report. Link: https://t.co/n1TEqePqQl pic.twitter.com/JRPMFcfQNP
...............« La faillite de la France au Rwanda […] peut s’apparenter à une dernière défaite impériale d’autant plus grave qu’elle n’est ni formulée ni regardée », résument les commissaires dans la conclusion de ce rapport de 1 200 pages, qui vient d’être mis en ligne dans la soirée. Et de dresser l’inventaire des aveuglements et errements combinés qui conduisent Paris à se débattre, depuis 1994, face à une accusation vertigineuse de « complicité de génocide » : « La France conduit dès [octobre 1990] plusieurs politiques, qui se déploient parallèlement les unes aux autres et finissent par devenir contradictoires. L’impression est celle d’un enfermement des autorités françaises dans des logiques avec lesquelles la rupture s’avère difficile, même durant la crise génocidaire. »Génocide au Rwanda : « Une responsabilité française politique, institutionnelle et morale » https://t.co/FmqUpJmzFc
— Jeune Afrique (@jeune_afrique) March 28, 2021
Si ses conclusions semblent marquer une évolution notable dans l’analyse par la France de son rôle controversé au Rwanda au début des années 1990, la mission Duclert décline en revanche l’accusation, de nature juridique, qui plane de longue date sur l’action passée de Paris au Pays des mille collines.
« La France est-elle pour autant complice du génocide des Tutsi ?
Si l’on entend par là une volonté de s’associer à l’entreprise génocidaire, rien dans les archives consultées ne vient le démontrer », estiment les auteurs.
Mais ces derniers ne s’abstiennent pas pour autant d’exonérer la République française. Ils lui imputent en effet « des responsabilités accablantes ».
Rwanda : témoignage du général français Jean Varret | TV5MONDE - Informations @CNEWS https://t.co/RUFGtCAPqs
— Gilbert MAHE (@Loupo85) April 20, 2021
Pour le général Jean Varret, le rapport Duclert sur le Rwanda permet de « sortir de vingt-six ans de débats stériles »
— Gilbert MAHE (@Loupo85) April 20, 2021
suite sur @Cnews https://t.co/zpxwXN6iaP
Génocide: la France a "failli" au Rwanda selon un rapport remis à Macron
La politique de la France au Rwanda entre 1990 et 1994, menée par un président et son entourage "aveuglés idéologiquement", a été une "faillite" et elle porte des responsabilités "accablante...
( 26.3.2021 )Présente au Rwanda depuis que ce pays des Grands Lacs a pris son indépendance de la Belgique, la France «est demeurée aveugle face à la préparation» du génocide des Tutsi du Rwanda de 1994, assène dans ses conclusions la commission de 14 historiens présidée par Vincent Duclert, mise en place en 2019 par Emmanuel Macron.
Ce sont des décideurs «enfermés» dans une grille de lecture «ethniciste» post-coloniale et décidés à apporter, contre vents et marée,
un soutien quasi «inconditionnel» au régime «raciste, corrompu et violent» du président rwandais Juvénal Habyarimana,
face à une rébellion tutsi considérée comme téléguidée depuis l'Ouganda anglophone.
L'arrivée en 1993 d'un gouvernement de droite - la France entre en «cohabitation»- ne modifiera pas fondamentalement la donne, malgré des affrontements parfois «impitoyables» entre l'Elysée et le gouvernement du Premier ministre Edouard Balladur, beaucoup moins enclin à l'engagement français au Rwanda
Le génocide prend fin avec la victoire du FPR en juillet 1994.
Depuis, la France a entretenu des relations tendues, voire exécrables, avec le Rwanda, marquées par la rupture des relations diplomatiques en 2006.
....... POUR LA PERIODE 1897 - 1962 lire l'article"Génocide des Tutsi au Rwanda" "Genocidio de los tuyos en Ruanda" https://t.co/t8IYMNK2Pr
— jose lobo (@joseeliasloboh) March 28, 2021
1962, 1er juillet : Proclamation de l'indépendance du Rwanda.
1963-1964 : Raids organisés par des exilés en Ouganda et au Burundi cherchant à pénétrer de force au Rwanda. Massacres de population tutsi en représailles. Entre 1961 et 1967, 20 000 Tutsi sont assassinés et 300 000 ont pris le chemin de l'exil.
1973 : La population tutsi est bannie de l'administration, des sociétés privées et de l'enseignement. Nouveaux soulèvements meurtriers. Le 5 juillet, le général Habyarimana organise un coup d'État et prend le pouvoir. Les membres de la Ire République sont exécutés.
1975 : Juvénal Habyarimana crée un parti unique, le Mouvement révolutionnaire national pour le développement (MRND).
1986 : Le MRND s'oppose au retour des réfugiés rwandais.
1987 : Création du Front patriotique rwandais (FPR) en Ouganda. Son objectif : le retour des réfugiés tutsi au Rwanda.
1990
juin : Discours de François Mitterrand à La Baule. En septembre le pape Jean Paul II en visite au Rwanda insiste sur les impératifs de démocratisation. A cette date, 600 000 Tutsi sont exilés.
1er octobre : le FPR pénètre au Rwanda : déclenchement de la guerre civile. Les troupes du FPR sont arrêtées par les FAR aidées par la France (opération Noroît) et la Belgique. Le FPR adopte la tactique de la guérilla.
1993
4 août : Négociations politiques et signature des accords d'Arusha. Ils prévoient le rapatriement des réfugiés et le retour du FPR dans le jeu politique. La Mission des Nations unies pour l'assistance au Rwanda supervise l'opération.
1994
avril : Le 6, le président Habyarimana meurt dans un attentat. Le colonel Bagosora s'impose comme l'homme fort de la crise et l'organisateur du génocide. Les massacres débutent la nuit même. Du 9 au 15, rapatriement des expatriés français et belges. Le 21, alors que les massacres de civils font rage, l'ONU décide de réduire ses effectifs sur le terrain. En trois mois, plus de 800 000 personnes sont assassinées.
22 juin : La France déclenche l'opération Turquoise (opération humanitaire d'assistance aux civils avec recours autorisé à la force). La mission prend fin le 22 juillet et est relayée par la Minuar 2.
Juillet : Le FPR prend Kigali le 4. Le 18, cessez-le-feu et formation d'un nouveau gouvernement présidé par Pasteur Bizimungu le 19 juillet.
Génocide au Rwanda : Mitterrand " aveuglé " mais pas complice
Le président Emmanuel Macron a reçu vendredi 26 mars le rapport d'une équipe de chercheurs et d'historiens qu'il a chargé il y a deux ans de se pencher sur les archives françaises relatives au...
François Mitterrand porte une responsabilité, au sens politique du terme, mais la France n’est pas complice du génocide commis au Rwanda en 1994. Ce sont les principales conclusions du rapport de 1 200 pages remis par Vincent Duclert, président de la commission, à Emmanuel Macron. « La crise rwandaise s’achève en désastre pour le Rwanda, en défaite pour la France, écrivent les auteurs du rapport. La France est-elle pour autant complice du génocide des Tutsis ? Si l’on entend par là une volonté de s’associer à l’entreprise génocidaire, rien dans les archives consultées ne vient le démontrer. La France s’est néanmoins longtemps investie au côté d’un régime qui encourageait des massacres racistes. Elle est demeurée aveugle face à la préparation d’un génocide par les éléments les plus radicaux de ce régime. Elle a adopté un schéma binaire opposant d’une part l’ami hutu, incarné par le président Habyarimana, et de l’autre l’ennemi qualifié d’“ougando-tutsi” pour désigner le FPR [Front patriotique rwandais].» Pour les rapporteurs, la France n’a pas aidé les extrémistes hutus à planifier leur programme génocidaire ni à perpétrer leurs actes. Mais elle a tardé à rompre avec le régime intérimaire, après la mort du président Habyarimana, et à réagir avec l’opération Turquoise, « qui a permis de sauver de nombreuses vies, mais non celles de la très grande majorité des Tutsis exterminés dès les premières semaines du génocide ». Les chercheurs établissent donc un ensemble « de responsabilités, lourdes et accablantes ».
Alain Juppé comme Hubert Védrine, dont les responsabilités sont écartées, défendent une vision humanitaire de la France et du patriotisme gaullo-mitterrandien à l’heure où les Américains ne voulaient pas s’engager.
Les rapporteurs soulignent néanmoins la responsabilité de François Mitterrand et des militaires qui l’entouraient dans la politique menée au Rwanda entre 1990 et 1993.
Ils évoquant l’aveuglement français à l’égard du président Habyarimana, la poursuite de la coopération militaire avec un régime violent et souligne l’exfiltration du camp hutu au pouvoir.
« Toutes les accusations de la Commission sont contredites par le fait que la France a imposé les accords de paix d’Arusha ,entre l’Etat rwandais et le FPR de Paul Kagame afin de mettre un terme à la guerre civile,favorables à la communauté Tutsi », rétorque Hubert Védrine.
Ce rapport relate encore la mauvaise lecture des évènements par Paris, la faiblesse de l’analyse politique, la mise sur la touche de diplomates et militaires qui ont remis en cause à l’époque la politique française au Rwanda.
..................L’ancien ministre des Affaires étrangères a également repoussé l’explication du rapport selon laquelle les informations régulières provenant de militaires et diplomates sur place, faisant état d’un risque de génocide, avaient été ignorées à Paris. « Il n’y avait pas besoin d’avertissements pour savoir qu’il y avait un risque géant. C’était évident dès le début qu’il (allait) y avoir un durcissement atroce ». L’attitude des dirigeants français, qui continuent à livrer des armes au régime jugé « raciste » par le rapport, s’explique selon lui par leur volonté de répondre « aux attaques du FPR, qui massacre beaucoup de cadres Hutu ». « Il y a une course de vitesse et la réponse de la France, c’est de faire pression pour arriver à un compromis », qui débouche sur les accords d’Arusha, a-t-il plaidé...« Il y est notamment question de bâtir la nouvelle armée rwandaise, avec 40 % de Tutsi alors qu’ils représentaient 12 à 13 % de la population rwandaise », a souligné Hubert Védrine, pour qui « ce n’est pas un comportement d’ami aveugle ».Rwanda. Hubert Védrine salue le rapport sur le génocide qui « écarte toute complicité de la France » #Rwanda #EmmanuelMacron https://t.co/ZHp9w4eo5T via @ouestfrance
— Gilbert MAHE (@Loupo85) March 28, 2021
Rwanda : au lendemain de la remise du rapport qui épingle la responsabilité, et non la complicité de la France dans le génocide des Tutsis, certains jugent ces conclusions insuffisantes. pic.twitter.com/WvG9Kj8L8X
— Le journal Afrique (@JTAtv5monde) March 28, 2021
We call on the @UN to uphold the vow of #NeverAgain & stop the #TigrayGenocide. Time and time again, it has failed to act promptly to prevent mass atrocities. Rwanda, Yugoslavia and Syria are a few prime examples of the UN’s failure to act swiftly. #NeverAgain4Tigray @LindaT_G pic.twitter.com/U9gpXgzEzJ
— Hadu Gal Tigray (@GalHadu) March 28, 2021
la Video qui suit est en français
dure 2.20 minutes
et apporte un éclairage interessant sur certains
" préparatifs "
👇
French General Jean Varret who was the head of military cooperation in #Rwanda between 1990 and 1993 confirms that #France knowingly equipped and supported the #genocidalregime to cleanse off the #Tutsi. #rapportDuclert #Kwibuka27 pic.twitter.com/G2RRSt9fvw
— Yvette Nyombayire Rugasaguhunga (@NyombayireYR) March 28, 2021
https://t.co/wgBbliniwK
— Live News Africa (@LiveNewsAfrica) March 28, 2021
----#lna #rwanda #genociderwanda #france #emmanuelmacron pic.twitter.com/fQGOyh9hGs
https://t.co/wgBbliniwK
— Live News Africa (@LiveNewsAfrica) March 28, 2021
----#lna #rwanda #genociderwanda #france #emmanuelmacron pic.twitter.com/PaL8gFTlsF
https://t.co/wgBbliniwK
— Live News Africa (@LiveNewsAfrica) March 28, 2021
----#lna #rwanda #genociderwanda #france #emmanuelmacron pic.twitter.com/4n0KmSeYiy
It took 100 days and 800,000+ lives in Rwanda for the @UN to respond to the Genocide. On day 140+ we ask, how many more war crimes & human rights violations in Tigray will warrant a response? #TigrayGenocide #NeverAgain4Tigray @mbachelet @antonioguterres https://t.co/TbceELsqeo
— AbbyD (@aydesta5) March 28, 2021
FRANCE 🇫🇷
— O.E.N.D.D.F. (ONG) (@europeanobs) March 28, 2021
♦️Le dernier génocide du XXème siècle est celui des Tutsi.
♦️ Le Rapport de la commission Duclert du 26 mars 2021 souligne la responsabilité accablante de la France et de François Mitterrand, alors président, dans ce génocide des #Tutsi, en 1994. https://t.co/73xuk54TUn
On their visit to @Kigali_Memorial this morning, @CharlesMichel, the @eucopresident and MEP @CZacharopoulou paid respects to victims of the Genocide against the Tutsi. pic.twitter.com/NAS7gsu1jZ
— Kigali Genocide Memorial (@Kigali_Memorial) March 8, 2021
"Le devoir de mémoire est une exigence absolue. La dignité et la fraternité sont des engagements universels." @eucopresident pic.twitter.com/C3QQ1Gk3OA
— Kigali Genocide Memorial (@Kigali_Memorial) March 8, 2021
Honored to have contributed to this story by @questCNN - You'll never be able to prevent mass atrocities, genocide, and hate, if it doesn't start with the personal and individual commitment to the cause. https://t.co/0vScBNRQON pic.twitter.com/HM4x5dmM4Y
— Honore GATERA (@honoregatera) March 26, 2021
La France, qui s'est massivement impliquée au #Rwanda à partir des années 90, porte des "responsabilités lourdes et accablantes" dans la dérive ayant abouti au génocide des Tutsi en 1994, selon les conclusions du rapport d'une commission d'historiens #AFP #AFPTV pic.twitter.com/BsAqWqSUGz
— Agence France-Presse (@afpfr) March 28, 2021
Pour l'Elysée, le rapport Duclert sur le #Rwanda s'intègre dans une habile stratégie de com' sur des annonces fallacieuses (rappel: le rapport Sarr-Savoye sur la restitution du patrimoine a été enterré et la pseudo réforme du CFA maintient l'ingérence 🇫🇷)
— Survie (@Survie) March 28, 2021
https://t.co/AwcIZH9HGM pic.twitter.com/NkIgxpxZTI
Excellente interview de François Graner de @Survie sur les insuffisances du rapport Duclert et notamment l'absence de mention des dizaines de militaires et mercenaires français se trouvant du côté génocidaire en 1994 https://t.co/w5jOZ1XPvb
— Anckarström, Esq. 🇲🇦🇸🇪🇵🇸 (@ibnkafka) March 28, 2021
📆 Retrouvez-ici le programme de la 27ème commémoration du génocide perpétré contre les Tutsi au Rwanda. #Kwibuka27 #LutteContreleNégationnisme
— Ibuka France (@ContactIbuka) March 24, 2021
👉🏽 Envoyez-nous dès à présent vos témoignages, textes de soutien et autres productions à contact@ibuka-france.org. pic.twitter.com/zeLR4NMvlW
......... dans ses conclusions, le rapport souligne l'aveuglément des autorités françaises qui n'ont cessé de soutenir « l'ami hutu incarné par le président Habyarimana ». Un aveuglement qui les a conduites à considérer exclusivement comme « ennemi » le Front patriotique rwandais (FPR), qualifié par Paris « d'ougando-tutsi ». Une attitude qui s'explique par une « approche ethniciste » des autorités françaises et par la « relation forte, personnelle et directe » du président Mitterrand avec son homologue rwandais. La commission évoque même « une forme de sidération » comme « si agir face à un génocide n'entrait pas dans le champ des possibles ». L'opération Turquoise, organisée par la France avec le feu vert de l'ONU, a néanmoins permis de sauver des milliers de vies, reconnaît le rapport. Mais sur le front humanitaire, elle a eu lieu dans un contexte d'exode de plusieurs centaines de milliers de personnes.Le rapport d'une commission de recherche dirigée par l'historien Vincent Duclert sur le génocide de 1994 des Tutsis au Rwanda, souligne la faillite de la politique menée par François Mitterrand au Rwandahttps://t.co/QrV045bbc0
— Les Echos (@LesEchos) March 28, 2021
France bears ‘overwhelming responsibilities’ over Rwanda genocide | Genocide News | Al Jazeera https://t.co/KjaVxtfiHG
— Gilbert MAHE (@Loupo85) March 28, 2021
@RFI met en débat le rapport Duclert sur le #Rwanda avec deux itws : Hubert Védrine ancien secrétaire général de la présidence de la République et François Graner de l’association Survie. 1/2 Hubert Védrine au micro de @pedrofirtion 👇 https://t.co/gEPfpg0vwQ
— Laurent Correau (@LCorreau) March 28, 2021