BREXIT en attendant le 1er janvier 2021
UE et UK finissent l'année en " limitant la casse "
Mais en 2021 la poussière laissée sous le tapis,car tout n'est pas dans l'accord BREXIT , remontera à la surface
De son côté Nicola Sturgeon n'a pas dit son dernier mot pour l'Ecosse
‼️Green light for #BrexitDeal: EU Ambassadors have unanimously approved the provisional application of the EU-UK Trade and Cooperation Agreement as of January 1, 2021.
— Sebastian Fischer (@SFischer_EU) December 28, 2020
👉 Next step: Final adoption by use of written procedure. Deadline: Tomorrow, 15.00 hours. #TCA #COREPER 🇪🇺🇬🇧 pic.twitter.com/k76Iei9xm0
It’s Monday?! When did this happen? Why were we not informed?! Oh, bank holiday Monday. Carry on eating choccies in your pyjamas...
— Larry the Cat (@Number10cat) December 28, 2020
#Brexit | A méditer, suite... Le Royaume-Uni décide de quitter le programme #Erasmus, à l’inverse des engagements pris. Triste choix pour la jeunesse. L’Europe fait celui de l’ouverture, augmente le budget #Erasmus et l’élargit à plus de jeunes 🇪🇺🇫🇷 pic.twitter.com/TJPNkVqZJx
— Clement Beaune (@CBeaune) December 28, 2020
Nouveau variant du coronavirus : 200 camions toujours bloqués au sud de l'Angleterre https://t.co/BEVmFsZSDD pic.twitter.com/VsCdjVDP7t
— lalibre.be (@lalibrebe) December 28, 2020
Brexit: Transition period is coming to an end, is your business ready? - There will be a significant change in the way business is conducted as the UK leaves the single market and EU laws are no longer applicable to England and Wales. https://t.co/i1R9kT4BaB pic.twitter.com/tLtWKqWvUj
— Elite Business (@elitebizmag) December 28, 2020
Post-Brexit commerce agreement risks erosion of UK employees' rights https://t.co/WE3qjJ85ZS pic.twitter.com/XBjGUOnSet
— MENAFN Business (@MENAFN) December 28, 2020
All 27 EU member states have just provisionally agreed to the post #Brexit trade deal (& Euratom agreement)
— Gavin Lee (@GavinLeeBBC) December 28, 2020
The ambassadors meeting took less than half an hour.
Next: the deal will be officially signed on Weds by @vonderleyen & @eucopresident
Parliament to approve next year. pic.twitter.com/FfwWQ7Viu2
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Ceux qui font "cocorico" devraient être + prudents, car l'Accord "post Brexit " doit être ratifié ensuite par les 27
et quand on voit déjà comment se met en place le plan de Relance UE ,
çà peut tanguer sur la terre ferme tout autant que sur le CHANNEL avec les Pêcheurs des 2 Rives
I’m big down under! https://t.co/4TBMXoKmi2
— Larry the Cat (@Number10cat) December 27, 2020
Soyez prêts pour le #Brexit
— French Embassy UK (@FranceintheUK) December 27, 2020
Le 1er janvier, les frontières sont rétablies.
➡️ Retrouvez toutes les informations pour vous aider https://t.co/1qV5vEDLuv pic.twitter.com/mFsqtMhd5G
JUST IN - Full text of the Post-Brexit deal between the UK and EU published:https://t.co/n3gEUnTuvr
— Disclose.tv 🚨 (@disclosetv) December 24, 2020
What does Brexit mean for you? Shopping, mobile calls, flying, driving … Big changes to our lives, and livelihoods, and on their way from 1 January when the transition period ends Will I see prices rise at the supermarket? There had been wa... https://t.co/MmceY4QF0M #EU #Europe pic.twitter.com/NbKynW87vW
— EUwatch (@EUwatchers) December 27, 2020
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Brexit: le Parlement européen mis devant le fait accompli
C'est avec un mélange de soulagement et d'agacement que les eurodéputés ont accueilli l'accord de coopération conclu entre les négociateurs européens et britanniques, jeudi 24 décembre. " Le...
« Le Parlement salue les dialogues intenses, les échanges et l’unité sans précédent entre les institutions de l’UE tout au long du processus.
Toutefois, il regrette que la durée des négociations et le caractère in extremis de l’accord ne permettent pas un véritable contrôle parlementaire avant la fin de l’année », a résumé, avec diplomatie, le président du Parlement européen (PE) David Sassoli.
En effet, pour éviter les perturbations liées à un « no deal », le traité sera provisoirement mis en application le 1er janvier ; le PE n’entamera qu’ensuite le processus d’examen puis de ratification.
Il pourra alors ratifier le texte ou le rejeter, mais pas l’amender.
« Comment envisager une révision alors qu’il sera entré en vigueur depuis plusieurs semaines voire un ou deux mois ? Il faudrait vraiment que le PE déniche une faille qui provoque un vrai déséquilibre ou un conflit d’interprétation. Donc il va valider le texte et cela passera inaperçu », déplore un conseiller du groupe parlementaire Renew (libéral).
Une invisibilisation que n’arrivent pas à avaler les eurodéputés.
Certes, l’application provisoire n’est pas une première dans les accords de libre-échange, mais cette arme n’avait été utilisée jusque-là que dans le cadre de traités nécessitant la ratification des parlements nationaux, à l’instar du CETA.
« Les députés sont furieux, car ils ont été contournés comme jamais.
Sur le CETA ou le TTIP (Partenariat transatlantique de commerce et d’investissement), les eurodéputés pouvaient consulter l’état des lieux des négociations dans une pièce sécurisée.
Là, il n’y a rien eu de tel, peut-être pour de bonnes raisons – éviter les fuites liées à des intérêts nationaux – mais cela fait quand même beaucoup », s’agace une source du groupe parlementaire social-démocrate.
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Le Télégramme : Lycéens et étudiants privés d'études en Grande-Bretagne par le Brexit ?
Le retrait de la Grande-Bretagne du processus d'échanges Erasmus laisse un goût amer aux enseignants, étudiants, lycéens. Suivre une année scolaire ou universitaire outre-Manche va devenir dif...
Jennifer Ford, responsable des relations internationales à l’IUT de Quimper, se veut malgré tout positive. « Nos partenaires anglais nous ont informés que le dispositif Erasmus prendrait fin seulement en 2022, annonce-t-elle.
L’année prochaine, les échanges Erasmus pourront donc avoir lieu avec nos cinq universités partenaires, si la covid le permet.
Nous envoyons en année normale entre 20 et 25 étudiants en Grande-Bretagne. Cette année, à cause de la covid, ils sont moins de 10.
Pour l’avenir, nous travaillons à une convention avec chaque université partenaire. Les étudiants pourront toujours bénéficier de la bourse de la Région mais pas celle d’Erasmus (environ 300 € par mois).
Les frais de scolarité (plus de 9 000 €) seront pris en charge selon les accords trouvés. Par ailleurs nous cherchons de nouveaux partenariats avec de nouveaux pays, comme récemment les Pays-Bas ».
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La City, grande oubliée de l'accord post-Brexit
Le secteur de la finance britannique a été abandonné politiquement au profit de celui de la pêche. Si les délocalisations de postes vers l'UE sont pour l'heure faibles, elles pourraient croît...
https://www.lopinion.fr/edition/international/city-grande-oubliee-l-accord-post-brexit-232443
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La City a été abandonnée politiquement.
L’accord sur les futures relations commerciales post-Brexit entre l’Union européenne et le Royaume-Uni ne prévoit rien sur la question des services, notamment financier.
Celle-ci sera traitée par des négociations en parallèle
Alors que le secteur de la finance est vital pour l’économie du pays (7% du PIB, 1,1 million de postes, un enjeu géopolitique mondial),
c’est celui de la pêche (0,1% du PIB, 12 000 emplois) qui a été défendu bec et ongles par le 10 Downing Street… pour des raisons éminemment politiques, note Le Monde.
Pour autant, l’Union européenne est aussi perdante.
« Le Brexit signifie pour l’UE la perte du marché de capitaux le plus important sachant que le Royaume-Uni contribue actuellement à un tiers de son activité.
Ce qui fait qu’elle va perdre du poids sur la scène internationale avec une part de marché qui va tomber de 22% aujourd’hui à 13% au même niveau que la Chine », assurait un récent rapport du think tank britannique New Financial.
Pour la City, cette situation peut aussi être une opportunité géoéconomique : l’Asie devrait générer une partie importante de la croissance mondiale future sur les marchés de capitaux.
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Brexit : la City, grande oubliée de l'accord entre les 27 et le Royaume-Uni
Après dix mois de négociations, un accord commercial post-Brexit a été trouvé de justesse. Mais de nombreuses inconnues persistent, notamment au sujet du secteur bancaire. L'avenir de la City ...
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Le Journal du Dimanche : Le Brexit et maintenant ?
RUPTUREL'UE et le ROYAUME-UNI formeront à partir de vendredi deux marchés et espaces juridiques DISTINCTSÉCHANGES Bruxelles et Londres ont scellé jeudi un accord historique pour régir leurs fu...
https://articles.cafeyn.co/f3b0cc/le-journal-du-dimanche/2020-12-27/le-brexit-et-maintenant
Autre pilier fondamental parachevé jeudi : le « partenariat pour la sécurité ».
Les autorités policières et judiciaires nationales continueront leur collaboration dans le domaine de la lutte contre la criminalité et du terrorisme.
Mais la politique étrangère, la sécurité extérieure et la coopération en matière de défense ne sont pas couvertes par l’accord,
Londres n’ayant pas souhaité les inclure dans la négociation.
Les deux parties ne pourront donc pas coordonner des réponses communes, par exemple en termes de sanctions.
« Il semble bizarre de séparer la politique sécuritaire et extérieure, tant ces deux domaines sont liés, observe Tara Varma.
Les Britanniques vont rester des partenaires dans l’Otan, ainsi qu’au niveau bilatéral avec la France, notamment sur le Sahel. Ils continueront à avoir accès aux renseignements anglo-saxons en étant membres des Five Eyes, mais ils vont perdre accès à beaucoup de données européennes. »
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Les détails de l'accord post-Brexit entre le Royaume-Uni et l'Union européenne
Accès au marché unique, pêche, respect de la concurrence, traitement des litiges, coopération policière et judiciaire... Le texte encadre de nombreux sujets tout en laissant des accords second...
C’est un pavé de près de 1 300 pages, annexes comprises.
L’Union européenne et le Royaume-Uni ont trouvé un accord de libre-échange, jeudi 24 décembre, sur leur future relation commerciale post-Brexit.
Ce dernier doit s’appliquer à partir du 1er janvier.
Si le texte doit encore être ratifié par les parlements de Londres et Bruxelles, ces contours se dessinent déjà, indique BFM TV.
Le document a été publié en intégralité par le gouvernement britannique, samedi 26 décembre.
Plusieurs points sont à retenir, notamment concernant l’accès au marché unique.
Ce dernier sera toujours possible sans droits de douane ,ni quota.
Les entreprises britanniques conservent ainsi l’accès au marché européen (450 millions de personnes), tandis que les firmes européennes pourront continuer à exporter et importer auprès du Royaume-Uni et de ses 66 millions de consommateurs.
Retour des douanes.
Pour autant, les exportateurs vont devoir se conformer à une réglementation plus chronophage, nécessitant de nombreux documents pour déclarer leurs marchandises et ainsi s’assurer d’une validation des autorités douanières.
Les entreprises importatrices devront elles aussi faire une déclaration d’importation, précise Le Monde.
Il s’agit donc bien d’un retour des douanes.
Des déclarations sanitaires ou phytosanitaires devront également être faites concernant les produits alimentaires ou les animaux vivants.
De quoi créer des perturbations à court terme, notamment dans les ports, avant que les acteurs économiques et institutionnels se soient réglés à ces procédures.
Cette résurgence des déclarations douanières devrait coûter, selon les économistes, quatre points de PIB au Royaume-Uni sur quinze ans.
Annuellement, les échanges commerciaux entre Londres et Bruxelles s’élèvent à 700 milliards d’euros.
La question de Gibraltar n’a pas été tranchée et des négociations sont en cours entre Londres et Madrid.
Quotas de pêche.
Les deux parties se sont également engagées à respecter des conditions de concurrence équitables « en maintenant des niveaux de protection élevés dans des domaines tels que la protection de l’environnement, la lutte contre le changement climatique et la tarification du carbone, les droits sociaux et du travail, la transparence fiscale et les aides d’Etat ».
En cas de manquement à cette clause, des droits de douane pourront être appliqués, précise le Huffington Post.
Les litiges entre Londres et Bruxelles concernant le traité seront régulés par un mécanisme contraignant de règlement des différends.
Un « Conseil conjoint » sera chargé de veiller à la bonne application de l’accord.
Concernant la pêche, alors que les pêcheurs britanniques et européens sont en rogne, les deux parties se sont accordées sur de nouvelles règles.
Le texte instaure une période de transition jusqu’en juin 2026.
Au terme de cette échéance, les pêcheurs européens devront avoir renoncé à 25% de leurs prises dans les eaux britanniques. Ce qui représente environ 650 millions d’euros annuels.
Ils pourront néanmoins continuer de venir jusqu’à six miles (9,66 km) des côtes du Royaume-Uni.
Des négociations pour délimiter des quotas devront avoir lieu lors de cette période de transition ainsi qu’à son issue. Les renégociations se feraient ensuite de manière annuelle.
La question du transport n’a pas été oubliée. La connectivité aérienne, routière, ferroviaire et maritime est assurée par le traité. La concurrence entre opérateurs sera encadrée par des dispositions « afin que les droits des passagers, des travailleurs et la sécurité des transports ne soient pas compromis ».
Fin d’Erasmus.
Pour la période 2021-2027, Londres aura toujours un pied dans certains programmes scientifiques européens, à condition d’une contribution au budget communautaire. Comme, par exemple, pour le programme Horizon Europe.
Néanmoins, le Royaume-Uni a décidé de sortir du programme d’échanges universitaires Erasmus, symbole du libéralisme scientifique européen.
Le texte prévoit également une coopération policière et judiciaire « en particulier pour lutter contre la criminalité transfrontalière et le terrorisme ».
Ce partenariat pourra être suspendu si Londres n’adhère ni n’applique la Convention européenne des droits de l’Homme.
Enfin, de nombreuses questions restent en suspens,
notamment concernant les services (notamment financiers), qui sont sujets à des négociations parallèles.
Selon Le Monde, des dizaines d’accords secondaires n’ont pas été traités par l’accord entre Londres et Bruxelles.
Le volet coopération a été grandement amoindri et le gouvernement Johnson n’a pas souhaité inclure la défense et la politique étrangère aux négociations, notent Les Echos.
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Brexit : le dernier week-end européen des Britanniques
Europe 1 s'est rendu à Maidstone, la capitale du Kent en Angleterre, qui a voté majoritairement en faveur du Brexit en 2016. Alors qu'un accord entre Londres et Bruxelles vient d'être trouvé, l...
https://www.europe1.fr/international/brexit-le-dernier-week-end-europeen-des-britanniques-4014830
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Ce que contient l'accord post-Brexit entre l'UE et le Royaume-Uni
Le texte de l'accord de partenariat économique et commercial conclu entre l'UE et le Royaume-Uni après le Brexit, un document de 1.246 pages, a été publié samedi. Voici les grandes lignes du t...