EPR : réacteur européen à eau pressurisée
Le réacteur européen à eau pressurisée EPR (initialement European Pressurized Water Reactor, puis Evolutionary Power Reactor) est un projet de réacteur nucléaire de troisième génération (classification internationale), conçu et développé par la société NPI (Nuclear Power International), détenue à parts égales par Framatome SA (50 %) et Siemens KWU (50 %) à partir de 1989, auquel participent les principales compagnies d'électricité allemandes ainsi qu'Électricité de France. Il fait partie de la filière des réacteurs à eau pressurisée.
Présentation et historique du projet EPR
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L'EPR de Flamanville ne sera pas mis en service avant fin 2022
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EPR : le gendarme du nucléaire examine le dossier
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Filière EPR : Bruno Le Maire demande un audit sur le nucléaire nouvelle génération
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Les trois scénarios qui expliquent le nouveau retard de l'EPR de Flamanville - L'Usine de l'Energie
PAR LA RÉDACTION EDF , Nucléaire Pour lire l'intégralité de cet article, testez gratuitement L'Usine Nouvelle - édition Abonné Le retard de l'EPR de Flamanville n'en finit plus. EDF a confirm...
Changement climatique : la Chine en détient-elle les clés ?
Alimenté par les travaux du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) et préparé par la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques, l'accord ...
La recette chinoise pour faire tourner l'EPR
Le nucléaire est une priorité du gouvernement chinois, qui investit en moyenne 5 milliards d'euros par an. "Ils ont une capacité de mobilisation exemplaire", déclare Fabrice Fourcade, présiden...
http://www.lefigaro.fr/societes/la-recette-chinoise-pour-faire-tourner-l-epr-20190726
« La Chine sort deux réacteurs nucléaires par an, tandis que la France n’a plus construit de réacteur nucléaire civil depuis les années 1990, justifie Fabrice Fourcade, président d’EDF Chine, comme pour expliquer les retards de Flamanville. C’est donc une technologie mature. »
C’est aussi une priorité du gouvernement chinois, qui investit 5 milliards d’euros par an en moyenne dans le nucléaire. Les entreprises chinoises de génie civil n’ont pas cessé de construire des centrales depuis le lancement des travaux de Daya Bay, la première centrale chinoise, en 1986.
« J’ai pu voir de très près comment les Chinois mobilisent leurs équipes pour tenir les délais et les coûts sur un projet de cette ampleur, reprend Fabrice Fourcade, ils ont une capacité de mobilisation exemplaire. » À Taishan, les ouvriers ont travaillé par quart de dix heures, sept jours sur sept, dans des conditions climatiques difficiles. Le chantier ne s’arrêtait que quatre heures par nuit, juste le temps de vérifier la qualité des soudures, et de reprendre le travail.
À ce rythme, la Chine est le pays qui construit le plus, avec onze réacteurs nucléaires en chantier. L’empire du Milieu compte déjà quarante-six réacteurs opérationnels répartis sur quinze sites de production d’électricité.
L’atome représente 3,9 % du mix énergétique chinois. C’est encore certes très loin derrière le charbon (70 %). Mais il avance à pas de géant à l’échelle de la Chine, premier consommateur d’électricité au monde et plus gros émetteur de CO2. Taishan est ainsi déjà la centrale qui produit le plus d’électricité pour la province du Guangdong, avec un niveau de prix plus compétitif pour cette province que le charbon.
La centrale EPR chinoise a été portée par une coentreprise entre le chinois CGN (51 %), EDF (30 %) et l’électricien provincial Yuedian (19 %). « C’est le résultat de trente années ininterrompues d’expérience de CGN dans le domaine nucléaire », explique le directeur du joint-venture, Guo Limin. Lors de l’inauguration de la centrale, en décembre dernier, celui-ci a salué « un mécanisme de coordination exemplaire » et une « coopération stratégique entre la France et la Chine » ces trente dernières années. Il a également reconnu avoir profité du retour d’expérience des deux chantiers EPR européens et de la venue des meilleurs experts dans ce domaine. En moyenne, une cinquantaine d’ingénieurs EDF sont présents en permanence à Taishan, même si l’essentiel du personnel est chinois.
Le calendrier politique explique aussi la rapidité avec laquelle Taishan a été lancée. Parallèlement, en effet, la Chine développe sa propre technologie de troisième génération, le « Hualong One » ou HPR 1000 : deux réacteurs de ce type sont en construction en Chine, plus un troisième au Pakistan, avec une mise en service prévue fin 2020 et des travaux en avance sur les prévisions. China Nuclear Corporation (CNNC) est cette fois aux commandes du projet. Cet autre géant déploie également la technologie concurrente de l’EPR, l’AP 1000 (développée par l’américain Westinghouse), dont quatre exemplaires sont en construction en Chine.
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